En droit rural, ce domaine englobe les activités en rapport avec toute activité agricole et les personnes pratiquant dans le secteur rural comme les agriculteurs et les éleveurs. Faisant partie de cette étude tout ce qui affilie à la production se rapportant à des filières agricoles. C’est un domaine dument priorisé et faisant même office de mise en place d’une institution concrète.
Ce type de droit suit son cours historique et en a apporté ses fruits
Autrefois, la politique agricole définit communément l’agriculture française comme accompagnée et redirigée. Il en est tiré qu’à chaque activité, la production entame une fin positive pour pouvoir nourrir. L’exploitation agricole est régie par plusieurs facteurs socioéconomiques.
Actuellement, pour exploiter un espace rural, il faut faire intervenir une institution relative à l’aménagement et au déploiement des territoires. Pour cela, le droit de l’environnement et celui de l’immobilier entrent en jeu. Ainsi pour préserver les terres cultivables, la biodiversité, la gestion de la puissance énergétique et l’eau, le droit rural moderne doit intervenir.
Cette matière étudie et déploie le moyen pour parvenir à un résultat concluant sur le marché agricole. Aussi, des filières étudiant le domaine agroalimentaire sont optimisées. Le droit rural moderne ne cesse donc pas d’accroître la qualité des produits par le biais des associations et organisations qui œuvrent dans l’agrobusiness.
Le droit rural est total, car il rentre en convergence avec plusieurs problématiques. Il mobilise alors des instruments appartenant à un autre type de droit, comme celui du privé et celui du public.
Mesure de protection par législation
Une loi instituée le 17 octobre 1945 et le 13 avril 1946 par ordonnance a mis au point une législation portant sur la protection du cultivateur vis-à-vis le fermage. Pour faire valoir une propriété foncière, le propriétaire concède à l’utilisation de cette propriété à un locataire contre une contribution annuelle fixée durant l’établissement du bail. Le fermier qui exploite les terres par location en fait valoir indirectement. Cette législation symbolise une révolution sociale, car elle annule les fondements libéraux prêchés vers le gouvernement de front populaire. En 1930, le pays subit une crise protéiforme touchant certes le domaine d’exploitation des terres.
Tout organe juridique du statut de métayage s’oriente sur la protection d’un locataire (preneur) et de son accès au bien. Des règles sont entamées pour la garantie d’un exploitant et constituent « le droit au bail ».
Éventuellement, l’Association française de Droit rural se déploie pour optimiser les facteurs qui entrent dans ce domaine. Elle incite donc les ordres publics ou privés, francophones, collectifs, étrangers, entre gouvernement et entre pays à collaborer avec elle.